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Texte
 


Claudio MONTEVERDI, Le Couronnement de Poppée, drame musical en un prologue et trois actes, livret de Giovan Francesco BUSENELLO, Margarete WITTE-WALDBAUER (CA), Lydia HERBST (S), Heidi JUON (S), Friedrich BRÜCKNER-RÜGGEBERG (T), Maria HELBLING (CA), Mabella OTT-PENETTO (CA), Sylvia GÄHWILLER (S), Franz KELCH (B), Fred REBURG (T), Paul GRÜMMER (viole de gambe), Herman LEEB (luth), Heinz WEHRLE (orgue), Chor und Orchester der Tonhalle Zürich, Walter GOEHR, 1952, version condensée, CM 2028

L'Incoronazione di Poppea - Le Couronnement de Poppée - est le dernier des trois opéras de Monteverdi qui nous soient parvenus de manière relativement complète - bien qu'il soit quasiment certain qu'une partie de la musique ne soit pas de Monteverdi. Le livret fut écrit par Giovanni Francesco Busenello, inspiré des Annales de Tacite et de Suétone.

Le Couronnement de Poppée fut représenté pour la première fois durant le carnaval de 1642 au Teatro Grimano ai Santi Giovanni e Paolo de Venise.

En ce qui concerne la partition, les éditions connues aujourd'hui ne mentionnent que la ligne de chant et la basse continue, ce qui oblige souvent à l’orchestrer pour pouvoir la faire représenter. La plus ancienne édition connue date de 1646 et fut découverte à Venise, en 1888. En 1930 une seconde partition datant de 1651 est retrouvée à Naples. Ces deux partitions, rédigées par divers copistes, ont été établies et adaptées pour des reprises de l'oeuvre et diffèrent entre elles sur de nombreux points: pour plus de détails voir par exemple cette page de Wikipedia.

Une partition du couronnement de Poppée publiée d'après le manuscrit original de la Bibliothèque Marcienne à Venise, avec réalisation de la basse, nuances et indications d'exécution par Vincent D'Indy, en français, peut être consultée
à partir de cette page du site archive.org). Cette partition - ainsi que d'autres éditions - peuvent être téléchargées sur cette page de l'IMSLP.
Un texte du livret peut être consulté et téléchargé
à partir de cette page du site librettidopera.it.

L'intrigue compliquée de cet opéra... Un texte de ?? - que l'on retrouve à de nombreux endroits sur la toile - en résume l'essence assez bien - et surtout en peu de lignes:

"[...] Ni la Fortune ni la Vertu ne peuvent rivaliser avec l’Amour qui, d’un signe, fait changer le monde: tel est le message que porte Le Couronnement de Poppée, ultime chef-d'oeuvre de Monteverdi. Le compositeur signe en effet un opéra où désir et séduction priment puisque c'est la beauté ensorcelante de Poppée qui captive Néron et provoque la mort de Sénèque, l’exil d’Othon et la répudiation d’Octavie. Les colonnes des moeurs s’écroulent une à une sans que l’on puisse se raccrocher à aucun personnage, sinon à cette musique délicieusement enivrante: au crépuscule de sa vie, Monteverdi nous ouvre les portes d’un univers sensoriel où "la voix devient baiser, puis se transforme en écriture profonde" (Starobinski). [...]", et ceci même si le tout assez immoral...

Au début de l'oeuvre Ottone, l'amant de Poppea, découvre que Nerone et Poppea sont tombés amoureux l'un de l'autre. Ottavia - l'épouse de Nerone - est rongée par l'humiliation et la jalousie. Seneca - philosophe et mentor de Nerone - tente d'une part de consoler Ottavia, et d'autre part de persuader Nerone de respecter les exigences de la loi, de la raison et de la vertu envers son épouse.
Furieux, Nerone chasse Seneca et veut répudier Ottavia. Ottone - désespéré - envisage de tuer Poppea, mais il y renonce, accepte d'abord son sort d'amant trahi. Ottavia lui enjoint toutefois de tuer Poppea, soutenue par Drusilla - qui elle est amoureuse d'Ottone...
Mais au moment où Ottone va frapper, l'Amore l'en empêche: Ottone s'enfuit.
En intermède un page (Valletto) et une demoiselle (Damigella) s'avouent leur amour.
Entretemps Nerone - tyran cynique et sans scrupules - fait transmettre à Seneca l'ordre de se donner la mort et répudie Ottavia, la contraignant ainsi à l'exil.
Devant les consuls et les tribuns, Nerone proclame Poppea son épouse et la couronne impératrice. Dans le duo final, les deux impériaux tourtereaux roucoulent leur tendresse: l'Amore triomphe donc, l'opéra s'achève ainsi sur une conclusion passablement immorale!

L'enregistrement fait en 1952 sous la direction de Walter Goehr est remarquable pour plusieurs raisons. Il s'agit du tout premier enregistrement plus ou moins intégral de cette oeuvre.
Pour réaliser son projet Walter Goehr a été obligé de faire de nombreuses coupures, pour pouvoir le publier dans un album de trois disques, qui puisse se vendre encore facilement.
Une analyse détaillée de cette parution a été faite par le musicologue
Joseph Kerman et fut publiée dans la revue 'The Musical Quaterly', Vol. 40, No. 2 (April 1954), pp. 307-311. Il relève que les notes accompagnant l'édition originale Concert Hall Society CHS 1184 (album de 3 disques) mentionnent certes que Goehr a réalisé lui-même cette édition de l'oeuvre, mais qu'il lui semble que cette édition a été très fortement influencée par Hans Ferdinand Redlich, qui avait réalisé auparavant une représentation de l'oeuvre en Angleterre avec Walter Goehr.

Sur les coupures Joseph Kerman écrit: "[...] The largest deletions cause the smallest regret: the Prologue, the irrelevant comic interlude for Arnalta near the end, and the entire role of Octavia's Nurse, including her comic scene with the Page. Without too seriously damaging the role of' Seneca, Goehr has cut a great deal from it; wisely, I am sure, for Seneca is a long-winded, upright old gentleman, a prototype for the stock operatic bass character of later years. This version omits two scenes at the start of Act II which portray Seneca's stoicism as he learns of his impending death from Mercury and then from a Captain; prior to this, the long (and truly Senecan) stichomythia with Nero is shortened - this scene does unfortunately lose impact. But Goehr quite properly includes the scene in which Nero celebrates Seneca's death with his drinking companions, though Monteverdi seems to have struck it out of the score. Smaller cuts - a stanza or an aria here, a page of recitative there - are more questionable. Perhaps inevitably, the long denouement in Act III i-iv is rather thoroughly carved up. [...]" une citation extraite de la recension de Joseph Kerman publiée dans la revue 'The Musical Quaterly', Vol. 40, No. 2 (April 1954), pp. 307-311: voir
ce tiré à part extrêmement intéressant (http://www.jstor.org/stable/739692) pour plus de détails.

Comme le souligne Joseph Kerman "[...] Now there is one aspect of this score, as it has come down to us, that is bound to terrify an opera conductor, or an opera audience: its lack of orchestral color contrast. The piece practically screams for reconstruction. Only the short ritornels and sinfonie call for any instruments beyond the basso continuo, and these cease as soon as the voices begin; all the singing is with continuo alone, according to our manuscript [...]", le plus difficile a été de réaliser cet accompagnement orchestral. Joseph Kerman: "[...] Thus Goehr, following a couple of hints from Orfeo, has the continuo realized by different instruments for different characters: harpsichord, lute, harp, and organ for the gods; and also allots the ritornels to various orchestral choirs: strings, brass, and recorders for Cupid. (Incidentally, he juggles some of the ritornels around.) Making the most of a thoroughly controversial tenet of Goldschmidt's, he provides many arias and ariosos with upper parts for strings or trombones. Following a completely wild clue (from the St. Matthew Passion?), he orchestrates much of the recitative too, with strings or trombones. And apparently on the basis of some information about division technique, he introduces into climactic recitatives a viola da gamba playing ruminative counterpoint over the bass, with an effect about as Baroque as Ernest Bloch's Schelomo. In the coronation scene, Goehr makes Rimsky look like a purist. I could wish that he had employed some of this ingenuity to another end, to get his singers to draw even more emotion from Monteverdi's amazing vocal lines. Surely it is clear that opera at this time relied on great singing, rather than on orchestral effects, for contrasts and impressiveness. [...]" une citation extraite de la recension de Joseph Kerman publiée dans la revue 'The Musical Quaterly', Vol. 40, No. 2 (April 1954), pp. 307-311: voir ce tiré à part extrêmement intéressant (http://www.jstor.org/stable/739692) pour plus de détails.

L'enregistrement paraît donc en 1952, un album de 3 disques Concert Hall Society CHS 1184, et reçoit en 1954 le Grand Prix du Disque. Une version racourcie paraît sur un seul disque, le MMS 2028 en 1954, et le CM 2028 (photos de la pochette ci-dessus et des étiquettes des disques ci-dessus et ci-dessous) en 1962, ce dernier étant une édition de collection limitée à 3'000 exemplaires. La version complète est rééditée vers 1955 dans l'album de 3 disques Classic (France) 6240-6241-6242 (que l'on retrouve mentionné dans le 3e supplément du WERM, couvrant la période 1953-1955). Des extraits sont parus sur divers disques de la Musical Masterwork Society et sociétés affiliées.

La version courte a été rééditée sur CD par les Éditions Atlas vers 1989-1990, dans la série Les Génies de l'opéra OPECD 1022 (ref.: http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb381688392/PUBLIC) pour le CD, resp. Les Génies de l'opéra OPEK7 1022 (ref.: http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb381688408/PUBLIC) pour une cassette.

L'enregistrement que je vous présente ici est la version courte, ma restauration de mon exemplaire du disque CM 2028.
La version "complète" de l'album de 3 disques est pour plus tard, si j'ai la patience de restaurer ces trois disques, plus exactement si j'arrive à les restaurer, car ils ne sont pas dans le meilleur des états...

Dans cet enregistrement historique
Walter GOEHR dirige le choeur et l'orchestre de la TONHALLE de ZÜRICH. Les solistes sont:

Amore: Annalies GAMPER (*)
Arnalta: Margarete WITTE-WALDBAUER (contralto)
Damigella: Lydia HERBST (soprano)
Drusilla: Heidi JUON (soprano)
Lucano: Fred REBURG (*)
Nerone:
Friedrich BRÜCKNER-RÜGGEBERG (ténor)
Ottavia:
Maria HELBLING (contralto)
Ottone:
Mabella OTT-PENETTO (contralto)
Poppea:
Sylvia GÄHWILLER (soprano)
Seneca:
Franz KELCH (basse)
Valetto: Fred REBURG (ténor)

(*) Les rôles de Amore et de Lucano ne sont pas présents dans cette version racourcie.

Viole de gambe:
Paul GRÜMMER
Luth: Herman LEEB
Orgue: Heinz WEHRLE

Joseph Kerman sur les solistes...

"[...] The singing on this recording is very good, though, as is every other aspect of the performance. Nero, sung by a tenor rather than by a castrato, is properly petulant, Poppaea seductive, vicious, fascinating, Octavia distressed and distraught, and Otho, sung by an alto, splendidly masculine in sound. The singers rarely get a chance to show what they could do with Monteverdi's most ambitious arias, in the form of "strophic variation," for most of these have been cut-most regrettably the remarkable duet between Otho and Poppaea. But many smaller arias remain, and best of all the recitative laments for Octavia and Otho, which were certainly designed to be climactic. Miss Maria Helbling as Octavia suggests something of the grand, passionate style of the early Baroque theater, at least as we try to imagine it today. [...]"

... et sur le tout:

"[...] Mr. Goehr's recording is one that everyone interested in opera must certainly hear. [...]"

Il ne faut toutefois pas oublier que cette interprétation date de 1952, est donc d'un style souvent assez différent de celui des interprétations d'aujourd'hui.

Les différentes parties de cette version racourcie (pour les textes voir les extraits du verso de la pochette au bas de cette page):

(01) Introduction, Ottone 'E pure io torno qui', acte 1, scène 1: À l'aube, Ottone, amant de Poppea, découvre la présence de soldats de Nerone sur le seuil de sa belle. Il comprend alors son infortune: Nerone et Poppea sont dans les bras l'un de l'autre. (06:12)

(02) Nerone 'In un sospir', acte 1, fin de la 3e scène: Nerone s'arrache avec difficulté aux bras de sa maîtresse, Poppea. (06:36)

(03) Ottavia 'Disprezzata Regina', acte 1, début de la scène 5: Au palais impérial, Ottavia est rongée par l'humiliation et la jalousie. (06:51)

(04) Drusilla, Ottone, acte 1, fin de la scène 13: La jeune Drusilla, depuis longtemps amoureuse d'Ottone, le rejoint pour constater que Poppea règne toujours sur son coeur. Ottone l'assure qu'il n'en est rien. Drusilla peut compter sur son amour et sur son dévouement. (03:09)

(05) Seneca, Famigliari, acte 2, scène 3, avec une coupure dans le dernier air de Seneca: Sénèque annonce à ses amis qu'il va se suicider: aux yeux du sage stoïcien, la mort n'est qu'un passage, une délivrance pour l'âme. Mais ses amis lui opposent le bonheur épicurien d'être vivant: "Non morir, Seneca, no./ Io per me morir non vo./ Questa vita e dolce troppo, /questo ciel troppo sereno." (04:58)

(06) Valletto, Damigella, acte 2, scène 4 ou 5 (suivant la version): une sorte d'intermède, avec le Page (Valletto) et la Demoiselle (Damigella) s'avouant leur amour, avec des coupures. (04:12)

(07) Poppea, Arnalta, acte 2, scène 12, avec des coupures: Déguisé en femme, Othon s'approche de Poppée pour la tuer. Mais au moment où il va frapper, l'Amour l'en empêche. Othon s'enfuit, mais Poppée et Arnalta ont cru reconnaître Drusilla. (05:59)

(08) Nerone, Ottone, Drussila, acte 3, fin scène 3, scène 4 avec des coupures: Nerone condamne Drusilla à une mort lente sous la torture. Ottone survient et s'accuse. Pour le sauver, Drusilla persiste à soutenir que c'est elle la coupable. Touché de tant de grandeur d'âme, Néron lève la sentence de mort. Tous deux partiront pour l'exil. Nerone tient enfin un prétexte officiel pour répudier Ottavia et la contraindre elle aussi à l'exil. (05:51)

(09) Poppea, Nerone, acte 3, fin scène 5: Poppée et Néron s'abandonnent à leur joie. (03:24)

(10) Ottavia, acte 3, fin scène 6: Ottavia fait ses adieux à Rome. (04:38)

(11) Poppea, Nerone, acte 3, fin scène 8, à partir de la première sinfonia, sans le Coro d'amori: Devant les consuls et les tribuns, Nerone proclame Poppea son épouse et la couronne impératrice. Dans le duo final, les deux impériaux tourtereaux roucoulent leur tendresse, l'amour triomphe... (07:31)

Voici donc...

Claudio Monteverdi, L'Incoronazione di Poppea, dramma per musica (un prologo e tre atti), libretto di Giovan Francesco Busenello, Margarete Witte-Waldbauer (CA), Lydia Herbst (S), Heidi Juon (S), Friedrich Brückner-Rüggeberg (T), Maria Helbling (CA), Mabella Ott-Penetto (CA), Sylvia Gähwiller (S), Franz Kelch (B), Fred Reburg (T), Paul Grümmer (viole de gambe), Herman Leeb (luth), Heinz Wehrle (orgue), Chor und Orchester der Tonhalle Zürich, Walter Goehr, 1952, CM 2028

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Les textes des différentes parties, tel que publiés au verso de la pochette du disque: certains des textes publiés sont racourcis par rapport à la version chantée, certainement pour une raison de place au verso de la pochette.

01 Introduction, Ottone 'E pure io torno qui', acte 1, scène 1: À l'aube, Ottone, amant de Poppea, découvre la présence de soldats de Nerone sur le seuil de sa belle. Il comprend alors son infortune: Nerone et Poppea sont dans les bras l'un de l'autre.

02 Nerone 'In un sospir', acte 1, fin de la 3e scène: Nerone s'arrache avec difficulté aux bras de sa maîtresse, Poppea.

03 Ottavia 'Disprezzata Regina', acte 1, début de la scène 5: Au palais impérial, Ottavia est rongée par l'humiliation et la jalousie.

04 Drusilla, Ottone, acte 1, fin de la scène 13: La jeune Drusilla, depuis longtemps amoureuse d'Ottone, le rejoint pour constater que Poppea règne toujours sur son coeur. Ottone l'assure qu'il n'en est rien. Drusilla peut compter sur son amour et sur son dévouement.

05 Seneca, Famigliari, acte 2, scène 3, avec une coupure dans le dernier air de Seneca: Sénèque annonce à ses amis qu'il va se suicider: aux yeux du sage stoïcien, la mort n'est qu'un passage, une délivrance pour l'âme. Mais ses amis lui opposent le bonheur épicurien d'être vivant: "Non morir, Seneca, no./ Io per me morir non vo./ Questa vita e dolce troppo, /questo ciel troppo sereno."

06 Valletto, Damigella, acte 2, scène 4 ou 5 (suivant la version): une sorte d'intermède, avec le Page (Valletto) et la Demoiselle (Damigella) s'avouant leur amour, avec des coupures.

07 Poppea, Arnalta, acte 2, scène 12, avec des coupures: Déguisé en femme, Othon s'approche de Poppée pour la tuer. Mais au moment où il va frapper, l'Amour l'en empêche. Othon s'enfuit, mais Poppée et Arnalta ont cru reconnaître Drusilla.

08 Nerone, Ottone, Drussila, acte 3, fin scène 3, scène 4 avec des coupures: Nerone condamne Drusilla à une mort lente sous la torture. Ottone survient et s'accuse. Pour le sauver, Drusilla persiste à soutenir que c'est elle la coupable. Touché de tant de grandeur d'âme, Néron lève la sentence de mort. Tous deux partiront pour l'exil. Nerone tient enfin un prétexte officiel pour répudier Ottavia et la contraindre elle aussi à l'exil.

09 Poppea, Nerone, acte 3, fin scène 5: Poppée et Néron s'abandonnent à leur joie.

10 Ottavia, acte 3, fin scène 6: Ottavia fait ses adieux à Rome.

11 Poppea, Nerone, acte 3, fin scène 8, à partir de la première sinfonia, sans le Coro d'amori: Devant les consuls et les tribuns, Nerone proclame Poppea son épouse et la couronne impératrice. Dans le duo final, les deux impériaux tourtereaux roucoulent leur tendresse, l'amour triomphe...

 
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