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Léo Delibes, Coppélia
* Extraits enregistrés avec le Royal Opera House Orchestra, Covent Garden de 1959
Pour continuer la légendaire série d'enregistrements avec le Royal Opera House Orchestra, Covent Garden, sous la direction d'Ernest Ansermet - voir la présentation et les données discographiques sur la page Tschaikowsky - voici maintenant les 4 extraits de Coppelia de Leo Delibes qu'il a enregistré à cette occasion. Pour le ballet complet et l'argument, voir un peu plus bas sur cette page, son enregistrement intégral qu'il avait fait en avril 1957.
Voici donc...
Leo Delibes, 4 Extraits de Coppélia, Royal Opera House Orchestra, Covent Garden, Ernest Ansermet, Kingsway Hall, 13-16 janvier 1959 (Prélude - Mazurka 04:24, Introduction et Valse 02:59, Czardas (Danse hongroise) 03:43, Valse de la poupée 02:04), stéréo
... que je vous offre, vous pouvez l'obtenir tout simplement en...
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70 MB, RCA Victor LDS 6065 -> WAV -> très léger "ClickRepair" -> FLAC
Disponibilité actuelle (janvier 2010) sur CD: Decca Australie, série Éloquence, double CD 442 9986, voir par exemple http://www.buywell.com/cgi-bin/buywellic2/efly.html?mv_arg=12680.
Il est à noter que l'album LDS 6065 fait partie de la bonne douzaines de disques 33 tours d'Ernest Ansermet encore disponibles, voir par exemple http://www.jpc.de/jpcng/classic/detail/-/art/The-Royal-Ballet-Gala-Performances-200g-HQ-Vinyl/hnum/5103996, et à un prix très honnête (contrôlé le 1er janvier 2010).
* Coppélia, ballet en deux actes et trois tableaux, enregistrement intégral de1957
Coppélia, ou la Fille aux yeux d'émail, est un ballet en deux actes et trois tableaux d'Arthur Saint-Léon, sur un livret de Charles Nuitter, musique de Léo Delibes, d'après le conte de l’écrivain allemand Ernst Theodor Amadeus Hoffmann, "Der Sandmann", représenté pour la première fois à l'Opéra de Paris le 25 mai 1870. Il conte la destinée du vieux Dr Coppélius et de sa poupée Coppélia.
Le livret met en scène Swanhilda, son fiancé Frantz et le vieux Coppélius, fabricant de poupées automates, dont l'ambition est d'en créer une douée d'une âme. Frantz s'éprend de la dernière création du vieillard, entrevue par la fenêtre: Coppélia qu'il croit vivante. Swanhilda, jalouse s'introduit dans son atelier. Frantz y pénètre à son tour, surpris par Coppélius qui tente à l'aide d'un breuvage de sa composition de l'endormir pour lui ravir son âme. C'est alors que Coppélia s'anime, et pour cause: Swanhilda a pris la place de la poupée. Elle brise les automates et s'enfuit avec son fiancé qu'elle épousera à la fête du village.
Cet enregistrement a été fait les 8, 12, 14 et 21 avril 1957 au Victoria Hall de Genève - Pr: James Walker, Eng: Gil Went (m), Roy Wallace (s) - est paru en octobre 1957 sur les LXT 5342 et 5343, en novembre 1957 sur les LL 1717 et 1718, puis en septembre 1958 sur le set de 2 disques London CSA 2201 (cet set fait partie des premiers disques stéréo sortis chez London, les disques portant les numéros CS 6002 et CS 6003, soit les 2e et 3e disque dans la première numérotation des disques London stéréo), puis en janvier 1959 sur les SXL 2084 et 2085.
Disponibilité actuelle (octobre 2009) sur CD: depuis avril 2009 chez Decca Australie dans la série Eloquence 480 0083, voir par exemple http://www.buywell.com/cgi-bin/buywellic2/efly.html?mv_arg=13035 (des extraits avaient été publiés sur Decca Weekend Classics 417 840.2DC en novembre 1988, couplé avec des extraits de Sylvia). Aussi disponible en téléchargement chez Naxos, voir http://www.naxos.com/catalogue/item.asp?item_code=9.80295-96
Voici donc d'abord l'acte 1...
Leo Delibes, Coppélia, Acte 1, Sur la place du village, Orchestre de la Suisse Romande, Ernest Ansermet, avril 1957
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80 MB, 3 fichiers FLAC, 01...06, 1 fichier TXT, et en...
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71 MB, 3 fichiers FLAC, 07...09, 1 fichier TXT London CSA 2201, ZAL 3585-3588 -> WAV -> Léger DeClick -> FLAC
Contenu des fichiers FLAC: 01_02_... 06:55:200 Prélude et Mazurka No. 1: Valse lente
03_04_... 07:23:600 No. 2: Scène (Swanhilde et Frantz) No. 3: Mazurka
05_06... 03:58:800 No. 4: Scène (Préparatifs de fête) No. 5: Ballade de l’épi
07_... 06:15:000 No. 6: Thème slave varié
08_... 03:28:000 No. 7: Czárdás (Danse hongroise)
09_... 05:36:400 No. 8: Sortie (finale)
Comme c'est une musique thématique, il est important d'en connaître l'histoire, pour bien pouvoir apprécier cette oeuvre: cliquer ici pour lire le résumé de l'acte 1.
Voici l'acte 2, la première scène, qui se passe dans l'atelier de Coppélius...
Leo Delibes, Coppélia, Acte 2, Tableau 2, Dans l'atelier de Coppélius, Orchestre de la Suisse Romande, Ernest Ansermet, avril 1957
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65 MB, II_I_09_10_11... et II_I_12_13..., et en...
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55 MB, II_I_14_15_16... et II_I_17_18..., London CSA 2201, ZAL 3585-3588 -> WAV -> Léger DeClick -> FLAC
Contenu des fichiers FLAC (pour que vous puissiez mieux suivre l'action, j'indique les minutages des différents No à l'intérieur des différents fichiers):
II_I_09_10_11... 09:22:400 No. 9a: Entr’acte – Valse -> env. 1:34 No. 9b: Scène -> env. 3:45 No. 10: Scène -> env. 6:27 No. 11a: Musique des automates -> env. 8:04 No. 11b: Scène
II_I_12_13... 05:57:700 No. 12: Scène -> env. 2:25 No. 13: Chanson à boire et scène
II_I_14_15_16... 09:04:200 No. 14: Scène et Valse de la Poupée -> env. 3:34 No. 15: Scène -> env. 7:25 No. 16: Boléro
II_I_17_18... 03:36:300 No. 17: Gigue -> env. 1:27 No. 18: Finale
Pour lire le résumé de l'acte 2, Tableau 2: Clicker ici!
Et voici la fin de l'oeuvre, l'acte 2, la deuxième scène, qui se passe dans les jardins du Duc...
Leo Delibes, Coppélia, Acte 2, Tableau 3, Dans les jardins du Duc, Orchestre de la Suisse Romande, Ernest Ansermet, avril 1957
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49 MB, II_II_19..., II_II_20a..., II_II_20bc..., et en ...
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61 MB, II_II_20defg..., II_II_20h..., London CSA 2201, ZAL 3585-3588 -> WAV -> léger Declick -> FLAC
Contenu des fichiers FLAC (pour que vous puissiez mieux suivre l'action, j'indique les minutages des différents No à l'intérieur des différents fichiers):
II_II_19... 03:08:000 No. 19: Marche de la cloche
II_II_20a... 03:36:000 No. 20: Fête de la cloche - Divertissement: a) Valse des heures
II_II_20bc... 04:32:700 b) L'aube; l'aurore s'avance et danse -> env. 2:25 c) La prière
II_II_20defg... 08:51:900 d) Le travail (La fileuse) -> env. 1:24 e) L’hymen (Noce villageoise) -> env. 3:12 f) La discorde et la guerre -> env. 5:01 g) La paix
II_II_20h... 03:50:300 h) Galop final
Pour lire le résumé de l'acte 2, Tableau 3, cliquer ici!
Un extrait de la critique de "Gramophone" lors de la parution de la version mono:
Gramophone: november 1957, p. 215 Coppélia - complete ballet. L'Orchestre de la Suisse Romande, conducted by Ernest Ansermet Decca LXT5342-3
"[...] Coppélia vies with Sylvia for consideration as Delibes's masterpiece, but it has hitherto lacked a complete recording. The tunes, perhaps, are the thing, as every selectionmaker since 1870 has known very well; but in between Coppélia's profusion of enchanting and familiar tunes there is much linking music of various sorts ("Scene", say the scores decorously and non-committally) which is the recitative of ballet ; it enables the dancers to mime their way rapidly through the dramatic excuses for the next set piece. Delibes's excuses are so well written that listening to them, even without any stage action at all, can be most enjoyable; but, in the case of this set of records, a detailed scenario is provided which in fact makes the whole action readily imaginable. Given the time to spare this — complete — is surely the way to listen to Coppélia; even the most comprehensive selection must perforce omit something worth while. The music has, too, the advantage here of an effective performance; perhaps the woodwind are not always the happiest of soloists (though the viola, riskiest of solo propositions in a theatre, comes off well), but the brass is well balanced and the string tone agreeable. The percussion, too, along with the other sections, has its moments and these are highlighted by the recording, which, good throughout, projects the Dance of the Automata quite uncannily. Never is the style of the music exaggerated by Ansermet; I would hazard a guess that this is a dancer's performance of the score, even more so than a listener's. The two records, along with the most helpful scenario, are presented in a useful box this should be an exceedingly popular set. M.M. [...]"
Et une comparaison des interprétations d'Antal Dorati et d'Ernest Ansermet, les deux versions disponibles à l'époque:
Gramophone: mai 1960, pp. 575-576 Delibes. Coppelia Ballet — complete. Minneapolis Symphony Orchestra conducted by Antal Dorati. Mercury Stereo AMS16018-9 Mono: MMA11000-1 Orchestre de la Suisse Romande conducted by Ernest Ansermet. Decca Stereo SXL2084-5
"[...] Dorati and Ansermet are two of the finest conductors of ballet music in the world (how I wish that our Royal Ballet, which deserves the best musical direction in the world, would make regular use of their services); it is illuminating to compare their readings of the great ballet scores, which are quite distinct in character. On record most people would prefer Ansermet's versions of the Stravinsky ballets, I suspect; he has an unrivalled understanding of their nature as evocation and as a basis for dancing. On points, too, I think I derive more pleasure from Ansermet's recording of Tchaikovsky's Nutcracker. But in The Sleeping Beauty honours are divided evenly, and in Swan Lake Dorati wins, if only because he plays all the music.
The two Coppelias are both extremely enjoyable, and choice between them must remain a matter of temperament. M.M., reviewing Ansermet in stereo and Dorati in mono, noted the vitality of Dorati's interpretation, and noted too that the orchestral playing isn't quite first class in either set—that of the Minneapolis Orchestra is rather more spruce, I think. But each sounds well in stereo; in a nutshell the Mercury stereo sound is more refined, that of the Decca more opulent and warmer. Balletgoers here will find that Dorati takes the lively numbers, including those of Allegretto type, rather faster than we're used to (e.g. the Valse and Mazurka in the first act, and the Galop in the last scene— very exciting this); I greatly enjoy his treatment of Swanilda's character solos in Act 2, and the divertissements in the finale. In mono the loud numbers sound rather oppressive—the mono Decca is more comfortably recessed; but in stereo there is less to choose between them.
If I prefer the Decca/Ansermet album it's for the greater charm and character (and in expressive passages the greater intensity) that Ansermet finds in Delibes's endearing score. I fancy that this doesn't strike on M.M.'s box, and would agree with him that the gusto and refinement of colour and texture in Dorati's account are most refreshing. Each has strong points in its favour. You must simply decide which means more to you — gusto or charm. W.S.M.[...]"
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