|
Robert SCHUMANN, Cycle de Lieder du Wilhelm Meister de Goethe (Requiem pour Mignon), Opus 98a, Irène JOACHIM (S), Basia RETCHITZKA (S), André VESSIÈRES (B), Hélène BOSCHI, piano, 22-23 octobre 1956, Paris, Chant du Monde LDX-S-8143
Robert Schumann compose son cycle Lieder und Gesänge aus Goethes Wilhelm Meister (Requiem für Mignon aus Goethes "Wilhelm Meister"), Opus 98a, entre 1841 et 1849 sur des textes extraits de "Les Années d'apprentissage de Wilhelm Meister" de Goethe.
La partition peut être téléchargée librement sur la page correspondante de l'IMSLP.
Pour le texte voir voir la page correspondante du splendide site recmusic.org d'Emily Ezust, qui propose également diverses traductions.
Les 22 et 23 octobre 1956, à Paris, Hélène BOSCHI enregistre ce cycle de Lieder avec les sopranos Irène JOACHIM (les chants de Mignon Nos 1, 3, 5 et 9) et Basia RETCHITZKA (le Chant de Philine, No 7) et le baryton-basse André VESSIÈRES (les chants du harpiste, Nos 2, 4, 6 et 8). Cet enregistrement peut vraiment être qualifié d'historique: il s'agit du premier enregistrement mondial de cette oeuvre, l'enregistrement paraît sur la deuxième face du disque Le Chant du Monde LDX-S-8143 (sur la première face se trouve la sonate F.A.E, Hélène Boschi accompagnant Peter Rybar).
Les textes et leur traduction en français (les traductions françaises sont en majeure partie citées d'après la pochette du disque, avec quelques corrections ou adaptations. Une exception: la traduction du Lied No. 7 est de Guy Laffaille, elle est citée ici en traduction interlinéaire avec son aimable autorisation):
1. Kennst du das Land (Gesang der Mignon), "Connais-tu le pays" (Chant de Mignon), Op. 79 (Liederalbum für die Jugend) Nr. 29, 1849, Op. 98a (Requiem für Mignon aus Goethes "Wilhelm Meister") Nr 1
Kennst du das Land, wo die Zitronen blühn, La connais-tu, la terre aux citronniers? Im dunklen Laub die Goldorangen glühn, D'oranges d'or luit le feuillage obscur: Ein sanfter Wind vom blauen Himmel weht, Suave, l'air souffle d'un ciel d'azur Die Myrte still und hoch der Lorbeer steht? Sur le doux myrte et l'orgueilleux laurier. Kennst du es wohl? La connais-tu bien? Dahin, dahin Là-bas, là-bas Möcht' ich mit dir, o mein Geliebter, zieh! J'y veux aller, mon amour, avec toi.
Kennst du das Haus, auf Säulen ruht sein Dach, La connais-tu, la demeure au fronton Es glänzt der Saal, es schimmert das Gemach, Majestueux, qui rayonne et sourit? Und Marmorbilder stehe und sehn mich an: Et chaque buste en marbre qui me dit Was hat man dir, du armes Kind, getan? O malheureux enfant, que te fait-on? Kennst du es wohl? La connais-tu bien? Dahin, dahin Là-bas, là-bas Möcht' ich mit dir, o mein Beschützer, ziehn! J'y veux aller, cher tuteur, avec toi.
Kennst du den Berg und seinen Wolkensteg? La connais-tu, la hauteur qu'à travers Das Maultier sucht im Nebel seinen Weg; La brume opaque une mule gravit? In Höhlen wohnt der Drachen alte Brut; Le vieux dragon dans son antre survit; Es stürzt der Fels und über ihn die Flut! Le rocher croule aux gouffres entrouverts. Kennst du ihn wohl? La connais-tu bien? Dahin! Dahin Là-bas, là-bas Geht unser Weg! o Vater, lass uns ziehn! Mène notre chemin! Ô mon père, laisse-nous partir!
Pour une autre traduction, voir la page correspondante du splendide site recmusic.org d'Emily Ezust.
2. Ballade des Harfners, Ballade du harpiste, Op. 98a Nr. 2, 1841
Was hör ich draussen vor dem Tor, Qu'est-ce, au-dehors, devant le seuil Was auf der Brücke schallen? Sur le pont, qu'est-ce qui s'exhale? Lass den Gesang vor unserm Ohr Aux chansons faisons bon accueil Im Saale widerhallen! Va, qu'ils emplissent notre salle! Der König sprachs, der Page lief; Le roi le dit, le page part, Der Knabe kam, der König rief L'enfant revient, Le roi criat Lasst mir herein den Alten! Bienvenue en ma cour royale!
Gegrüsset seid mir, edle Herrn, Bonjour à vous, nobles messieurs! Gegrüsst ihr, schöne Damen! Belles dames, je vous salue! Welch reicher Himmel! Stern bei Stern! Quelles étoiles dans quels cieux! Wer kennet ihre Namen? En est-il une de connue? Im Saal voll Pracht und Herrlichkeit A tant de fastes éclatants, Schliesst, Augen, euch, hier ist nicht Zeit, Fermons nos yeux: il n'est pas temps Sich staunend zu ergötzen. D'en ressentir son âme émue.
Der Sänger drückt' die Augen ein Les yeux clos, le chanteur se tient, Und schlug in vollen Tönen; Et d'une voix pleine il commence. Die Ritter schauten mutig drein, Les chevaliers font haut maintien, Und in den Schoss die Schönen. Les belles humble contenance. Der König, dem das Lied gefiel, Le roi, tout séduit par son chant, Liess, ihn zu ehren für sein Spiel, Lui fait remettre sur-le-champ Eine goldne Kette holen. Un collier d'or pour récompense.
Die goldne Kette gib mir nicht, Ne m'offre pas de collier d'or. Die Kette gib den Rittern, Fais-le donner aux gens de guerres Vor deren kühnem Angesicht Dont l'aspect si fier et si fort Der Feinde Lanzen splittern. Brise les lances adversaires. Gib sie dem Kanzler, den du hast, Décores-en ton chancelier Und lass ihn noch die goldne Last Ajoute encore ce collier Zu andern Lasten tragen. Aux charges de ses ministères.
Ich singe, wie der Vogel singt, Je chante comme le pinson Der in den Zweigen wohnet; Qui fait refuge dans la haie. Das Lied, das aus der Kehle dringt, Le gosier riche de chanson, Ist Lohn, der reichlich lohnet. Il n'est pas de prix qui le paie. Doch darf ich bitten, bitt' ich eins: Si j'avais un désir encor, Lass mir den besten Becher Weins C'est une coupe de bel or In purem Golde reichen. Que ton vin le meilleur égaie.
Er setzt' ihn an, er trank ihn aus; Il lève la coupe: Je bois, O Trank voll süsser Labe! Régal de douceur qui délasse. O wohl dem hochbeglückten Haus, Heureuse la maison trois fois Wo das ist kleine Gabe! Où si peu de chose prend place! Ergehts euch wohl, so denkt an mich, Pensez à moi dans le bonheur Und danket Gott so warm, als ich Rendez autant grâce au Seigneur Für diesen Trunk euch danke. Que pour ce coup je vous rends grâce!
Pour une autre traduction, voir la page correspondante du splendide site recmusic.org d'Emily Ezust.
3. Nur wer die Sehnsucht kennt (Gesang der Mignon), Seul celui qui connaît la nostalgie (Chant de Mignon), Op. 98a Nr. 3, 1841
Nur wer die Sehnsucht kennt, Seul celui qui connaît la nostalgie Weiss, was ich leide! Connaît mon tourment! Allein und abgetrennt De tout contentement Von aller Freude, Privée, et solitaire, Seh ich ans Firmament Mes yeux au firmament Nach jener Seite. Cherchent ce qui m'altère.
Ach! der mich liebt und kennt, Lui qui me connaît erre Ist in der Weite. Au lointain, coeur aimant. Es schwindelt mir, es brennt Je tourne affreusement, Mein Eingeweide. Me brûle chaque artère. Nur wer die Sehnsucht kennt, Qui vit loin de sa terre Weiss, was ich leide! Connaît seul mon tourment!
Pour une autre traduction, voir la page correspondante du splendide site recmusic.org d'Emily Ezust.
4. Wer nie sein Brod mit Thränen ass (Gesang des Harfners), Qui de pleurs jamais n'a trempé son pain (Chant du harpiste), 0p. 98a Nr. 4, 1841
Wer nie sein Brot mit Tränen ass, Qui de pleurs jamais n'a trempé son pain, Wer nie die kummervollen Nächte Jamais n'a passé de ces nuits entières Auf seinem Bette weinend sass, Assis sur son lit, rongeant son chagrin, Der kennt euch nicht, ihr himmlischen Mächte. Puissances d'En-Haut! ne vous connaît guères.
Ihr führt ins Leben uns hinein, Vous donnez la vie à l'homme ici-bas. Ihr lasst den Armen schuldig werden, Vous le laissez se perdre - pauvre hère, Dann überlasst ihr ihn der Pein Et l'abandonnez à d'affreux tracas Denn alle Schuld rächt sich auf Erden. Tous les manquements se paient sur terre.
Pour une autre traduction, voir la page correspondante du splendide site recmusic.org d'Emily Ezust.
5. Heiss' mich nicht reden (Gesang der Mignon), N'attends de moi que les mots du silence (Chant de Mignon), Op. 98a Nr. 5, 1841
Heiss' mich nicht reden, heiss' mich schweigen, N'attends de moi que les mots du silence. Denn mein Geheimnis ist mir Pflicht; De mon secret je me fais un devoir. Ich möchte dir mein ganzes Innre zeigen, Mon coeur voudrait te montrer s'il est dense. Allein das Schicksal will es nicht. Mais le destin ne veut rien laisser voir.
Zur rechten Zeit vertreibt der Sonne Lauf Le soleil vient, et chasse au temps voulu Die finstre Nacht, und sie muss sich erhellen; L'obscurité pâlissante à sa course. Der harte Fels schliesst seinen Busen auf, Si dur soit-il, chaque rocher fendu Missgönnt der Erde nicht die tiefverborgnen Quellen. Verse à la terre une secrète source.
Ein jeder sucht im Arm des Freundes Ruh, Les bras amis offrent l'apaisement. Dort kann die Brust in Klagen sich ergiessen; Où notre coeur libéré peut se plaindre. Allein ein Schwur drückt mir die Lippen zu, Ces lèvres-là, closes par un serment, Und nur ein Gott vermag sie aufzuschliessen. Il n'est qu'un Dieu qui puisse les contraindre.
Pour une autre traduction, voir la page correspondante du splendide site recmusic.org d'Emily Ezust.
6. Wer sich der Einsamkeit ergibt (Gesang des Harfners), Au solitaire, quel recours? (Chant du harpiste), Op. 98a Nr. 6, 1841
Wer sich der Einsamkeit ergibt, Au solitaire, quel recours? Ach! der ist bald allein; Il sera seul! chacun Ein jeder lebt, ein jeder liebt Pressé d'affaires et d'amours Und lässt ihn seiner Pein. Le laisse à son chagrin. Ja! lasst mich meiner Qual! Laissez-lui son tourment Und kann ich nur einmal Une heure vraiment Recht einsam sein, Solitaire - et l'aïeul Dann bin ich nicht allein. Ne sera plus seul.
Es schleicht ein Liebender lauschend sacht, L'amant se glisse et guette si Ob seine Freundin allein? Bien seule est sa très chère. So überschleicht bei Tag und Nacht Soir et matin me nargue ainsi Mich Einsamen die Pein, Moi. l'homme solitaire, Mich Einsamen die Qual. La crainte et le chagrin: Ach, werd ich erst einmal Ah! puissé-je être enfin Einsam im Grabe sein, Solitaire au linceul, Da lässt sie mich allein! Sans que je souffre - seul!
Pour une autre traduction, voir la page correspondante du splendide site recmusic.org d'Emily Ezust.
7. Singet nicht in Trauertönen (Gesang der Philine), Ne chantez pas dans des tons désolés (Chant de Philine), Op. 98a Nr. 7, 1841
Pour une traduction en français, j'ai choisi la traduction de Guy Laffaille, qui me plait mieux. Elle est extraite de la page correspondante du splendide site recmusic.org d'Emily Ezust, et citée ici en traduction interlinéaire avec l'aimable autorisation de Guy Laffaille:
Singet nicht in Trauertönen Ne chantez pas dans des tons désolés Von der Einsamkeit der Nacht. Sur la solitude de la nuit. Nein, sie ist, o holde Schönen, Non, elle est, ô mes belles, Zur Geselligkeit gemacht. Faite pour la sociabilité.
Wie das Weib dem Mann gegeben Comme la femme a été donnée à l'homme Als die schönste Hälfte war, Pour être sa plus belle moitié, Ist die Nacht das halbe Leben Ainsi la nuit est la moitié de la vie Und die schönste Hälfte zwar. Et la plus belle à la vérité.
Könnt ihr euch des Tages freuen, Pouvez-vous vous réjouir le jour, Der nur Freuden unterbricht? Qui seulement interrompt la joie ? Er ist gut, sich zu zerstreuen; Il est bon pour s'amuser, Zu was anderm taugt er nicht. Il n'est utile à rien d'autre.
Aber wenn in nächt'ger Stunde Mais quand dans l'heure nocturne Süsser Lampe Dämmrung fließt, Le crépuscule aux douces lampes s'écoule, Und vom Mund zum nahen Munde Et de la bouche à la bouche voisine Scherz und Liebe sich ergießt; Badinage et amour s'épandent,
Wenn der rasche, lose Knabe, Quand ce garçon vif et frivole, Der sonst wild und feurig eilt, Qui d'ordinaire sauvage et ardent se hâte Oft bei einer kleinen Gabe Souvent avec un petit cadeau Unter leichten Spielen weilt; S'attarde en un jeu léger.
Wenn die Nachtigall Verliebten Quand le rossignol aux amoureux Liebevoll ein Liedchen singt, Chante un petit chant plein d'amour, Das Gefangnen und Betrübten Qui aux prisonniers et aux tristes Nur wie Ach und Wehe klingt; Sonne seulement comme des lamentations,
Mit wie leichtem Herzensregen Avec comme un cœur légèrement ému Horchet ihr der Glocke nicht, N'entendez-vous pas la cloche Die mit zwölf bedächtgen Schlägen Qui avec douze coups prudents Ruh und Sicherheit verspricht. Promet le repos et la sécurité.
Darum an dem langen Tage, Donc, dans le long jour, Merke dir es, liebe Brust; Note-le, cher amour : Jeder Tag hat seine Plage, Chaque jour a son souci, Und die Nacht hat ihre Lust. Et la nuit a son plaisir.
8. An die Thüren will ich schleichen (Gesang des Harfners), Aux portes où mes pas se glissent (Chant du harpiste), Op. 98a Nr. 8, 1841
An die Türen will ich schleichen, Aux portes où mes pas se glissent, Still und sittsam will ich stehn, Humble et muet je me tiendrai. Fromme Hand wird Nahrung reichen, Des mains pieuses me nourrissent, Und ich werde weitergehn. Puis de nouveau je partirai.
Jeder wird sich glücklich scheinen. Chacun se laisse prendre au charme, Wenn mein Bild vor ihm erscheint, Heureux quand j'apparais au loin. Eine Träne wird er weinen, S'il va répandre quelque larme, Und ich weiss nicht, was er weint. Pourquoi je ne le saurai point.
Pour une autre traduction, voir la page correspondante du splendide site recmusic.org d'Emily Ezust.
9. So lasst mich scheinen, bis ich werde (Gesang der Mignon), Telle, à moi-même, je dois naître (Chant de Mignon), Op. 98a Nr. 9, 1841
So lasst mich scheinen, bis ich werde, Telle, à moi-même, je dois naître. Zieht mir das weisse Kleid nicht aus! Mon clair habit ne m'ôtez pas! Ich eile von der schönen Erde Je laisse un monde beau peut-être Hinab in jenes feste Haus. Pour la demeure enjointe, en bas.
Dort ruh ich eine kleine Stille, A peine, mon sommeil, s'il dure Dann öffnet sich der frische Blick. Que s'ouvre mon regard nouveau Ich lasse dann die reine Hülle, Je quitte alors ma robe pure, Den Gürtel und den Kranz zurück. Et ma ceinture, et mon bandeau.
Und jene himmlischen Gestalten, Font-ils la différence entre homme Sie fragen nicht nach Mann und Weib, Et femme, les êtres du ciel Und keine Kleider, keine Falten Ni vêtement ni voile, en somme, Umgeben den verklärten Leib. Qui pèse au corps immatériel.
Zwar lebt ich ohne Sorg und Mühe, Je vis, et plus rien ne m'oppresse. Doch fühlt ich tiefen Schmerz genung. Mais j'ai souffert et consumais Vor Kummer altert ich zu frühe; Trop vite en chagrins ma jeunesse Macht mich auf ewig wieder jung! Qu'on me la rende - et pour jamais!
Pour une autre traduction, voir la page correspondante du splendide site recmusic.org d'Emily Ezust.
Voici donc...
Robert Schumann, Lieder und Gesänge aus Goethes Wilhelm Meister (Requiem für Mignon aus Goethes "Wilhelm Meister") für eine Singstimme mit Begleitung des Pianoforte, Opus 98a, Irène Joachim (S), Basia Retchitzka (S), André Vessières (B), Hélène Boschi, piano, 22-23 octobre 1956, Paris, Chant du Monde LDX-S-8143 (Le Chant du Monde LDX 78746/7)
1. Kennst du das Land (Gesang der Mignon), "Connais-tu le pays" (Chant de Mignon), Op. 79 (Liederalbum für die Jugend) Nr. 29, 1849, Op. 98a (Requiem für Mignon aus Goethes "Wilhelm Meister") Nr 1, Irène Joachim 03:49 2. Ballade des Harfners, Ballade du harpiste, Op. 98a Nr. 2, 1841, André Vessières 05:43 3. Nur wer die Sehnsucht kennt (Gesang der Mignon), Seul celui qui connaît la nostalgie (Chant de Mignon), Op. 98a Nr. 3, 1841, Irène Joachim 01:57 4. Wer nie sein Brod mit Thränen ass (Gesang des Harfners), Qui de pleurs jamais n'a trempé son pain (Chant du harpiste), 0p. 98a Nr. 4, 1841, André Vessières 02:17 5. Heiss' mich nicht reden (Gesang der Mignon), N'attends de moi que les mots du silence (Chant de Mignon), Op. 98a Nr. 5, 1841, Irène Joachim 03:27 6. Wer sich der Einsamkeit ergibt (Gesang des Harfners), Au solitaire, quel recours? (Chant du harpiste), Op. 98a Nr. 6, 1841, André Vessières 03:08 7. Singet nicht in Trauertönen (Gesang der Philine), Ne chantez pas dans des tons désolés (Chant de Philine), Op. 98a Nr. 7, 1841, Basia Retchitzka 02:16 8. An die Thüren will ich schleichen (Gesang des Harfners), Aux portes où mes pas se glissent (Chant du harpiste), Op. 98a Nr. 8, 1841, André Vessières 02:33 9. So lasst mich scheinen, bis ich werde (Gesang der Mignon), Telle, à moi-même, je dois naître (Chant de Mignon), Op. 98a Nr. 9, 1841, Irène Joachim 02:47
que je vous offre et que vous pouvez obtenir en...
______________________________CLIQUANT_ICI______________________________
pour un download sur mon site, ou en...
______________________________CLIQUANT_ICI______________________________
pour un download sur Filefactory.
Chant du Monde LDX-S-8143 -> WAV -> léger à moyen DeClick avec ClickRepair, des réparations manuelles -> FLAC
9 fichiers FLAC, 2 fichiers CUE (*) et 1 fichier PDF dans 1 fichier ZIP
(*) 1 fichier CUE pour les fichiers décomprimés en WAV et 1 fichier CUE pour les fichiers comprimés FLAC, si votre logiciel peut utiliser directement les fichiers FLAC.
Les différents Lieder peuvent être également écoutés en ligne sur les pages correspondantes du groupe Hélène Boschi du site www.notrehistoire.ch. Le logiciel Adobe Flash Player doit toutefois être installé sur votre ordinateur pour pouvoir écouter le fichier.
1. Kennst du das Land (Gesang der Mignon), "Connais-tu le pays" (Chant de Mignon) http://www.notrehistoire.ch/group/helene-boschi/audio/1179/
2. Ballade des Harfners, Ballade du harpiste http://www.notrehistoire.ch/group/helene-boschi/audio/1180/
3. Nur wer die Sehnsucht kennt (Gesang der Mignon), Seul celui qui connaît la nostalgie (Chant de Mignon) http://www.notrehistoire.ch/group/helene-boschi/audio/1181/
4. Wer nie sein Brod mit Thränen ass (Gesang des Harfners), Qui de pleurs jamais n'a trempé son pain (Chant du harpiste) http://www.notrehistoire.ch/group/helene-boschi/audio/1182/
5. Heiss' mich nicht reden (Gesang der Mignon), N'attends de moi que les mots du silence (Chant de Mignon) http://www.notrehistoire.ch/group/helene-boschi/audio/1183/
6. Wer sich der Einsamkeit ergibt (Gesang des Harfners), Au solitaire, quel recours? (Chant du harpiste) http://www.notrehistoire.ch/group/helene-boschi/audio/1184/
7. Singet nicht in Trauertönen (Gesang der Philine), Ne chantez pas dans des tons désolés (Chant de Philine) http://www.notrehistoire.ch/group/basia-retchitzka/audio/1185/
8. An die Thüren will ich schleichen (Gesang des Harfners), Aux portes où mes pas se glissent (Chant du harpiste) http://www.notrehistoire.ch/group/helene-boschi/audio/1186/
9. So lasst mich scheinen, bis ich werde (Gesang der Mignon), Telle, à moi-même, je dois naître (Chant de Mignon) http://www.notrehistoire.ch/group/helene-boschi/audio/1187/
| |